Tronches de bien réveillés. Même si au bout de 14 jours de lever à 5h ou moins, ce rythme ne pèse pas, le matin, on n'est pas beaux à voir. Merci Annik d'avoir saisi ce superbe tableau !
Annik s'est offert une petite douceur : tartines de ... nutella, le régime des sportifs ! Nous avons réussi à la convaincre de nous accompagner dans la variante alpine. Bert et Tine n'osent pas. On leur a trop promis de difficultés.
Lever de soleil sur le refuge et sur l'envers de l'Incudine.
Embranchement de la variante à points jaunes et début d'une bonne montée. 
Les aiguilles sous tous les angles au-dessus de nos têtes.
La tour 4.
Petite ascension sur une d'elles. Elles sont pour quelques unes faciles d'accès jusqu'au sommet.
Cette forêt d'aiguilles est impressionnante et nous circulons au milieu d'elles.
Tour 3
La fameuse chaîne qui fait la réputation de l'étape.
Un jeu d'enfant pour Philippe (pas eu le temps d'allumer l'appareil) et pour Annik (bravo la souplesse). 
Vue sur le col de Bavella avant d'attaque la descente dans le pierrier.
A quoi ça vous fait penser ? Nous à une tête d'oiseau.
L'arrivée au col où nous retrouvons Bert et Tine.
Le sanctuaire bien connu.
Bert avait envie d'une pizza.
On a tous craqué. Deux bonnes heures de pause.
Dur de redémarrer.
Petite retenue d'eau.
De l'autre côté des aiguilles, vers l'est.
Le refuge de Paliri : sa terrasse.
Un panneau qui fait bien plaisir : nous n'avons jamais été aussi près du but.
Le refuge, superbement placé au milieu des pins.
La douche, suivre les panneaux : une expédition, tout comme la source.
Tout aussi froide que toutes les autres.
Perdue au milieu de nulle part, ça se mérite.
Philippe en admiration devant trois jeunes grimpeurs français habitant en Chine.
Très zen sur leur morceau de falaise équipé. 
L'envers des aiguilles vues du refuge dans le couchant.
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