Le réveil a été mis tôt. Un crétin de trailer fou ayant décidé de faire le GR aller-retour en 8j a fait tant de bruit qu'il a dérangé tout le monde. Aussi, il faisait encore nuit quand nous étions prêts. Troisième oubli : le briquet. heureusement, Les copines et Alain étaient aussi matinals que nous. Nous étions donc les premiers à partir à 5h30.
Premier rayon de soleil sur la montée le long des anciennes pistes de ski. On était en débardeur. Il faisiat vraiment bon à cette heure matinale.
Petit lac et quelques névés en dessous du col perdu.
Découverte du cirque de la solitude. Entre temps, les jeuns nous ont dépassé et se sont engouffrés dans la descente. Alain suivi de Philippe leur ont emboité le pas.
Philippe entrain de courir dans la descente : du pipi de chat ! qu'il a dit après avoir psychoté pendant 3 jours.
Même pas besoin des chaînes, il y avait suffisamment de prises naturelles.
La descente vue d'en bas. A cette heure, on était seuls. AMarie a traîné un peu plus en passant son temps à se retourner : un coup de face, un coup de dos et a bien ressenti la solitude du cirque de la solitude : pas une âme qui vive durant toute la descente.
Itinéraire de remontée.
Une échelle rapidement grimpée : les pieds sont flous.
La remontée était un jeu d'enfant pour nous contrairement à la plupart
même si l'ensemble du passage a laissé des traces de fatigue.
Le col perdu et le cirque avec sa file de randonneurs.
La descente vers les bergeries d'u Ballone avec un cri de délivrance de Philippe au sommet : le GR, c'est gagné !
?
De belles dalles avant d'atteindre le refuge de Tinghettu.
Le refuge vu d'en haut
puis d'en bas.
Arrivée aux bergeries.
Alain nous attendait avec un carré de chocolat et une tente réservée et montée. C'était la seule nuit que nous n'avions pas réservée.
Petit coin souvent sommaire mais combien important après 5 à 9 heures de marche sous le soleil.
Les rescapés du cirque. Sandrine et Michel entrain de récupérer avant de repartir pour doubler l'étape.
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